I SHOULD HAVE LET THEM GO

  
 
  Les joues roses de Violette s'enflammèrent, elle plaqua sa robe contre ses cuisses nues, alors que le prénommé Harry se relevait, un léger sourire aux lèvres.

« C'est pas ma faute ! Elle était juste au mauvais endroit, au mauvais moment. Et puis qu'est ce qu'il vous prend d'ouvrir la portière alors que je dors dessus ?! » S'exclama le bouclé.
« Excuse bidon ! Tu en a bien profité ! » Se moqua l'autre, toujours affaissé sur la banquette arrière de la petite Clio. « Mais j'aurai bien voulu dormir un peu plus aussi ! »
« Ben, la voiture est en panne, on a besoin de vous pour pousser ! » Expliqua le métisse.
« Quoi ?! Vous nous avez réveillé pour poussez ?! Moi je retourne dormir ! » S'énerva Harry.

  Le jeune au tee-shirt rayé, qui semblait le plus grand, l'installa sur ses épaules comme un vieux sac de pommes de terre, avant qu'il n'ai eu le temps de protester, le récidiviste se retrouva dans le petit ruisseau qui coulait au milieu du champs. Sous les rires de ses amis, il poussa un cris un peu trop féminin pour Violette.
 
« Désolé mec, mesure d'urgence ! » Se moqua le jeune homme en lui tendant sa main.
« Tu aurais pu trouver moins radical, et plus agréable, comme méthode, Louis. » Répliqua-t-il en se relevant de son plein gré.
« Ouais, mais ça aurait été moins marrant. » Ria-t-il.

  Le jeune bouclé fit la moue en rejoignant le petit groupe d'adolescent toujours réunis autour de la voiture, stopper au milieu de la route. Il était à présent trempé de ses cheveux maintenant lisse à ses converses ternit par l'eau, sa chemise blanche collait à sa peau et dévoilait un corps bien taillé. La jeune fille afficha un petit sourire satisfait en laissant, sans gène, son regard parcourir les tablette de notre ami. Quand celui-ci s'en aperçut il sourit à son tour.
 
« Dis donc, te gène pas surtout. » Lança-t-il, bien conscient que la jeune fille allez être gêné par sa remarque.
« Bah, tu te gêne pas pour fixer mon décolleté non plus. Et puis chacun son tour! Tu t'es pas embêter non plus tout à l'heure il me semble. » Répliqua l'interpellé à la grande surprise du jeune homme et sous les rires de ses amis.
« Ça c'est bien envoyé ! Tu commence à me plaire toi ! » Rajouta le martyre du bouclé.

  Le concerné sembla choqué de la remarque de son ami, il haussa les épaules.

« Tu l'as bien cherché celle-là ! Sois bon joueur, Hazza ! » Rajouta-t-il.

  Toujours un peu rouge par la réplique de Violette il tenta de changer de sujet.

« En fait, on doit pousser jusqu'où ? Parce que là je vois pas trop où on pourrai trouver une station. »
« Mon père tient un garage pas loin d'ici... » Répéta la jeune fille.
« Pas loin ? C'est à dire ? » S'inquiéta le frisé.
« 10 minutes en poussant. » Répondit le métissé en souriant à Violette.

  Les 5 garçons se mirent en route, Violette les aidait tant bien que mal. Et malgré les protestations des jeunes hommes, qui par question de galanterie voulait la faire s'installer à l'intérieur, exploit qu'ils ne réussirent pas, elle participa à l'avancer lente du véhicule sur la petite route escarpé de l'Irlande profonde. Au bout de cinq petites minute, le blond se glissa à l'intérieur de la voiture, ralentissant immédiatement le cortège.

« Niall ! Louis est déjà assez lourd comme ça ! Sors de là ! » Ordonna le métisse.
« Hé ! Dis que je suis gros pendant que tu y es ! » Se vexa le conducteur.
« Ben ouais, c'est exactement ce que je dis ! » Se moqua le brun.

  Le concerné fit semblant de bouder et se retourna vivement vers la route. Ce qui fit rire le petit blond, fouillant dans un sac de voyage, orné d'un trèfle vert.

« Niall ! Sors tout de suite de là ! Qu'est ce que tu fais bon sang ! » Hurla le bouclé.
« C'est bon, c'est bon. Pas besoin de s'énerver, j'avais faim. » Souffla l'interpellé en sortant du véhicule, un paquet d'Oréo à la main.
« Bon sang, quand est-ce que tu t'arrêtera de bouffer comme ça. » S'exclama le dernier des garçons.

  Le blond ignora cette dernière remarque et se dirigea vers la seule fille du groupe. Il lui tendit un de ses précieux gâteaux sous les regards médusé de ses camarades.

« Niall ? Tu te sens bien ? » S'inquiéta le plus grand, se retournant vers les deux jeunes.
« Tiens, tu as sûrement faim, euh... J'ai oublié ton nom. » Commença-t-il, ignorant une fois de plus ses amis.
« Violette. » Répondit la jeune fille en souriant.

  Elle attrapa la friandise qu'on lui tendait et croqua dedans sous le sourire de son nouvel ami.

« Je rêve ou je viens de voir Niall partager ses Oréos avec quelqu'un d'autre que son ours en peluche ? » S'étonna le conducteur.
« Dans ce cas c'est une hallucination collective ! » S'exclama le métisse, les yeux écarquillés.
« Réfléchissons un peu... Si c'était une hallucination, on serez tous à poil au milieu d'une forêt où il pleuvrait des éléphant rose et vert ! » Remarqua le jeune conducteur en se retournant vers ses amis.
« Louis ?! Des fois je me demande où tu vas chercher tout ça ! » Intervint le bouclé.
« Moi, je pense simplement que notre petit blond à craquer devant le jolie minois de... Euh... Violette.» Proposa la seconde 'marmotte'.
« Non, mais c'est quoi ces insinuations toutes pourries ! J'essaie juste d'être un minimum poli et vous dites déjà que je suis amoureux ?! Mais allez vous faire soigner ! La générosité, vous connaissez ?! » Intervint le jeune blond qui jusqu'à là avait ignorer ses camarades.

  Violette, elle, observait tranquillement la scène en dégustant lentement le paquet du blond, qui lui avait inconsciemment confié. Elle esquissait un sourire ou rougissait légèrement en fonction de ce qu'elle entendait, se plongeant, sans commentaires, dans la conversations des cinq jeunes hommes.

« La politesse ? La générosité ? Dès qu'on parle nourriture ces mots ont vite fait de disparaître de ton langage, enfin avant en tout cas... » Précisa le métissé.
« Moi aussi j'ai faim ! Ta générosité ne voudrai pas m'offrir un Oréo par hasard ? » Tenta le bouclé, en souriant.
« Non ! Vous m'avez énervé avec vos sous entendu débile ! » Répliqua l'e concerné, en croisant les bras autour de sa poitrine.
« Pff... Générosité mon cul... » Marmonna-t-il.

  Le jeune blond préféra ignorer encore un fois cette dernière remarque, et se tourna donc vers la jeune fille qui pendant leur petite discutions avait englouti le quart du paquet bleu, tout à coup sous l'emprise de la gourmandise. Il sembla tout d'abord choqué de retrouver ses précieuses gourmandises à moitié dévoré. Puis après quelques secondes sans bouger il se mit à rire. Ses amis le regardèrent, intensément, tous étonnés de la réaction de l'irlandais. Ils s'attendait à une crise de larme, à le voir sauter sur la jeune fille, s'apprêtait à le calmer, mais non. Il riait, simplement,. Sentant le lourd regards de ses 'frères', il s'arrêta et les observa, les interrogeant des yeux.

« Si j'avais osé faire ça, je serai déjà mort ! » Nota le bouclé, le souffle court.
« C'est probable, mais soyons franc, tu ne ressemble pas du tout à Violette ! » Confia le brun, en toute franchise.
« Qu'est-ce que tu insinue là ?! Que MON Hazza n'est pas aussi sexy que cette jeune fille ?! » S'exclama le jeune zébré.
« Euh... » Interrompit la concernée.
« Oui, ils sont toujours comme ça ! » Coupa le dernier à la coupe un peu "Bieberiser".
« Ouais, tu vois ce qu'on doit supporter tout les jours... » Se lamenta Niall.
« Niall ? Tu étais compris dans le 'ils' ! » Précisa son ami.

  L'interpellé sembla choqué par la remarque de son camarade mais se résolut à ne pas répliquer.
  Cela faisait bien 20 minutes que les 6 jeunes poussait la voiture sur la route escarpés d'Irlande. Entre les lamentations des Harry, les pauses pipi incessantes des garçons et les commentaires inutiles du conducteurs le temps définis avant leur départ avait doublés. Enfin, ils purent apercevoir les quelques toit de maisons qui constituait le petit village.

« On va arriver ! » S'exclama Violette, visiblement soulagés de ne plus avoir à supporter les discutions répétitives du bouclé.
« C'est pas trop tôt ! J'ai soif, j'ai mal au jambes, je suis fatigué et j'ai mal à la tête. » Se plaignit une énième fois Harry.
« Bon c'est bon ! On a compris ! » S'énerva le métissé.
« Je crois qu'on est tous unanime sur le fait que ça fait trop longtemps que l'on marche ! » Répondit-t-il.
« Je crois qu'on est tous unanime sur le fait que tu te la ferme ! Violette ? » Répliqua le brun.
« Je veux pas être méchante mais bon... C'est vrai que... » Murmurra-t-elle.
« Dites que je parle trop ! » S'indigna le bouclé.
« TA GUEULE HARRY ! » S'exclamèrent en cœur les 4 garçons.

  Un lourd silence s'installa entre les jeunes, régulièrement interrompus par les rires de Niall ou des grognement de Harry. Au bout d'une bonne minute, Violette décida d'y mettre un terme.

« En fait, vous vous appelez comment ? » Demanda-t-elle innocemment.

  Les 5 garçons se regardèrent, les yeux écarquillés, oubliant le froid qui s'était installés entre eux. Ils semblait complètement perdu par cette question pourtant si commune. Il était vrais que cela faisait bien longtemps que personne n'avait eu besoin qu'ils se présentent, et leurs visages trahissait leurs étonnement. Violette qui ne comprenait pas le malaise qu'elle avait créer, commença à regretter ses mots.

« Euh... Tu es sérieuse ? » S'étonna le premier.
« Ben, oui... Enfin, ouais... » Bredouilla le jeune adolescente.
« Tu veux dire que, tu nous connaît pas ?»
« Ben... Non. Je devrais ? » Répondit-elle, doucement.
« Bien sur que ou... » Commença le métis.
« Non, non. T'inquiète pas. Moi c'est Liam. » Coupa un des jeunes, en jetant un regard insistant aux jeunes hommes.
« Et moi Harry ! » Continua le bouclé.
« Le plus jeune ! » Rajouta le conducteur. « Moi c'est Louis, décidément le plus mature de cette bande. »
« Le plus vieux je veux bien, mais dire que tu es le plus mature est une hérésie ! » Se moqua Le métissé. « Zayn, pour te servir, princesse. » Se présenta le brun.
« Hé ! Dit que tu es plus mature que moi ! » S'énerva-t-il.
« Ouais ! C'est exactement ce que j'ai dis ! Moi je raconte pas des histoires d'éléphants roses et verts ! » S'emporta le métissé. 
« Oh ! Vos gueules les mecs !Vous allez lui faire peur avec vos conneries, si c'est pas déjà fait ! Moi c'est Niall.»  Ajouta le blond.
« Enchanté ! Mais t'inquiète pas, Niall, dans ma famille j'ai vu bien pire ! » Assura-t-elle.
« Wahou ! Pire qu'eux ? Ça doit être quelque chose ! » S'exclama-t-il.
« Pire que NOUS tu veux dire ! » Répliqua Louis.
« Oh. Ça va ! Tenez on arrive ! » Changea le petit blond.

  Ils passèrent devant un panneau leur indiquant qu'ils entrez enfin dans le petit village natale de Violette. Après avoir roulez -poussez serez un terme plus approprié- quelques mètres dans le rue principale -pour ne pas dire l'unique vraie route- la seule fille du petit groupe leurs indiqua un garage sur le côté gauche.
  Elle quitta le cortège et entra sans gène dans la grande pièce pleine de cambouis. Beaucoup d'outils traînaient dans les coin, des bouts de tissus noircis par l'essence et la sueur était entassés sur un établis ensevelis sous des tonnes de pièce mécanique plus ou moins grosses. Le bureau de Monsieur Sean jurait avec le reste de la pièce par son apparence trop ordonné et trop propre, un tas de papier rangés en pile rectangulaire y était déposé, dans un pot vert toutes sortes de stylo ou de crayons, sur la table des règles, compas, gommes, étaient disposés. Sur un tableau en bois était affichés plusieurs croquis de véhicule, quelques affiches publicitaires pour des fêtes municipal, des anniversaires ou des mariages, plusieurs autocollant offert par des sponsors, et un gros porte-clés plein à craquer. Un vielle autoradio versait dans la pièce un flux de musiques des années quatre-vingts démodés mais toujours aussi agréable à l'oreille. Un ventilateur était installés près de l'établi, rafraîchissant tant bien que mal la lourde chaleur qui régnait dans le garage. Une odeur de sueur et de cambouis flottait dans l'air mais pas assez prononcé pour gêné les habitués.
  Quand la jeune Violette rentra dans la pièce elle trébucha sur une clé à molette faisant un bruit monstre et s'étalant de tout son long sur le sol.
 
« Violette ? C'est toi ? » Hurla une voix grave étouffer par la cloison qui les séparait.
« Putain de merde ! » Jura la jeune fille.
« Oui, c'est toi. » Marmonna l'autre.
« PAPA ! TU POURRAIS PAS RANGER UN PEU ! » Cria-t-elle.

  Un homme plutôt robuste, plus grand d'une tête au moins que Liam, blond et les yeux gris bleus, rentra dans la pièce, ses mains blanches contrastant totalement avec son tablier noir de cambouis et déchirer à quelques endroit. Il leva les yeux aux ciel sous la remarque de sa fille, puis vint la serrer tendrement contre lui.

« Je vais être toute crade maintenant ! » Se plaignit-elle, faussement vexé.
« Bah. Tu l'es déjà ! T'as vu comment tu t'es ramassé sur le sol ! » Se moqua son père.

  Niall ne put s'empêcher de retenir un rire, ce qui attira le regard de Paul, le père de Violette.

« Tiens, tu nous amène de la compagnie ! » S'exclama ce dernier.
« Non. Je t'amène du boulot. » Rectifia la jeune fille.
« Nous sommes tombés en panne à une centaine de mètre d'ici, et votre fille nous à gentiment conduis jusqu'ici. » Résuma Liam.
« Je vous en prie ! Pas de vous ou de Monsieur avec moi, c'est Paul. » Expliqua-t-il.
 
  Les garçons se présentèrent, un à un, toujours un peu troublé, apparemment, ici personne ne les connaissait, ce qui était pour bien dire assez peu commun. La jeune blonde les coupa dans leurs réflexions en se présentant à son propre père.

« Violette. » Ironisa-t-elle.
« Enchanté Mademoiselle. Qui sont vos parents pour vous laissez traîner ainsi seules avec 5 garçons d'âge mur ? » Se moqua son père.

  Les cinq concernés se regardèrent, étonnés pas une telle complicité entre un père et sa fille.

« Bon revenons-en à nos moutons.»
« Harry ! Paul à besoin de toi ! » Se moqua Louis.
« Et tu te trouve drôle ? » Répliqua Harry.
« Ouais ! Moi aussi je trouve ça drôle ! » Rajouta Zayn.
« Mais arrêtez ! Vous êtes méchants avec ce pauvre petit agneau ! » Continua Liam en passant ses doigts dans les cheveux de Harry.
« Bon ! Si on s'occupait de la voiture ! » S'énerva le jeune. 

  Paul aida les jeunes à faire rentrer leur voiture à l'intérieur, il ouvrit le capot et se pencha sur le moteur. Sa fille s'installa derrière lui et lui indiqua la panne.

« Bien vu, ma puce, mais regarde, ici aussi c'est mort. » Rajouta-t-il, au grand désespoir des 5 jeunes hommes.

  Après une bonne demi-heure penché sur la carcasse de la petite Clio, Paul se releva enfin. Tout les regards tournés vers lui.

« Bon. J'ai une bonne nouvelle, et beaucoup de mauvaises ... » Annonça-t-il.
« La bonne d'abord, s'il-vous plaît. » Demanda Louis, son expression trahissait sa peur.
 « Comme vous voudrez. Alors la bonne c'est que votre réservoir est de nouveaux plein. » Commença le père de Violette.
« Et les mauvaises ? » S'inquiéta Zayn.
« Votre batterie est morte. »
« Ça va, c'est pas trop grave, je m'attendait à pire. »
« Ce n'est pas tout. J'ai remplacé plusieurs pièces. Mais il m'en manque une en stock. Et impossible de démarrez sans. » Expliqua calmement l'homme.
« Et vous ne pouvez pas la commandez ? » Proposa Liam.
« Si, bien sur, mais le problème c'est que le livreur arrive dans trois jours. » Annonça-t-il.
« En quoi est-ce un problème ? » S'étonna le bouclé.
« C'est que il est déjà en route. Pour avoir une livraison il faut commander minimum une semaine à l'avance. » Précisa Paul.
« D'accord, donc si je comprends bien, on commande maintenant et dans une semaine ont peu repartir, c'est ça ? » Résuma Louis.
« Non. Pas exactement. Dans un village aussi petit que le notre, seul un camion tout les deux mois, sauf en cas d'urgence, vient déposer toutes les fournitures nécessaires aux commerces du coin. Il fait tout le tour de la région. Vous ne recevrai jamais la pièce avant fin Août. » Rectifia l'homme.

  Les cinq garçons semblèrent tout d'abord choqué par l'annonce que Paul venait de leurs faire puis Zayn se leva brusquement de sa chaise.

« Mais attendez, c'est pas une urgence là, peut-être ? » S'énerva-t-il.
« Non, un groupe de jeunes en panne, n'est pas une urgence ! » Répondit calmement le père.
« Vous vous foutez de notre gueule ? VOUS SAVEZ A QUI VOUS PARLEZ ?! » Hurla le jeune métissé.
« Wow. Zayn ! Tu te calme ! Paul ne t'as rien fait. » Ordonna Liam, qui le rassit sur sa chaise avec l'aide de Louis.
« Si on résume, on peut pas repartir d'ici avant deux mois. » Déclara Niall, qui jusqu'à là n'avait pas oser faire de commentaires.
« C'est ça. En tout cas, pas avec cette voiture. » Répondis la jeune fille.
« Et vous avez pas de voitures de location par hasard ? » Proposa-t-il.
« Non. Je vous aurez bien prêter la mienne mais pour l'instant c'est impossible. » S'excusa l'homme.
« Si ce n'est pas indiscret, pourquoi ? » Se renseigna le bouclé, qui semblai s'être rangé du côté de Zayn.
« C'est loin d'être un secret. Ma femme est enceinte, c'est son neuvième mois, et l'hôpital et à plus d'une heure d'ici. Vous comprenez... » Expliqua-t-il, avec un sourire qui reflétait son bonheur.
« Oh. Félicitations. » Répondit Liam.
« Et vous ne connaîtriez personne qui pourrait nous prêter un véhicule... » Tenta le brun, qui s'était résolu à trouver une solution.
« Alors, là. Ce serez vraiment un miracle. Ici, les gens sont plutôt du genre à se déplacer en vélo ou en mobylette. Il n'y à que des vieux. Et les seuls jeunes qui y vivent on ou une vieille moto, ou rien du tout. » Annonça la jeune fille en appuyant sur ces derniers mots en regardant son père, d'un air accusateur.
« On en à déjà discuté. » Assura son père.
« D'accord. Donc on n'a plus qu'à appelez un taxi. » Souffla Harry.
« Ouais, mais non. Déjà, si vous trouvez un taxi qui peux prendre cinq personnes vous êtes doué, mais alors appelez-moi quand vous aurez un taxi qui viendra gentiment vous cherchez jusqu'ici. » Se moqua Violette.
« Non, mais c'est pas possible. Dès qu'on trouve une solution, faut qu'il y es un problème ! » S'énerva à son tour Harry.
« Merde c'est pas leurs fautes non plus. Alors vous allez arrêtez de vous énerver pour rien. Si on es là, c'est de ma faute ! Alors si vous avez quelque chose à dire vous criez sur moi ! » Répliqua durement Louis.
« Non, mais. Louis, c'est ça ? C'est pas du tout ta faute. Même si tu avais fait le plein, le moteur n'aurai pas tenu longtemps. Vous avez même plutôt de la chance. Si vous n'étiez pas tombé en panne ici, vous auriez pu vous arrêter au milieu de la forêt. Et là, adieu le réseau et les secours. » Rassura Paul.
« Oui, mais ça ne change rien au fait que si j'avais fait réviser ma voiture on n'en serait pas là. » Insista le plus grand.
« Lou.. Arrête. On t'en veut pas. » Assura Harry, ne pouvant supporter de voir son meilleur ami dans cet état.
« C'est vrai ? » S'étonna-t-il.
« Mais bien sur. Allez câlin groupé. » Annonça Le bouclé.

  Les quatre garçons se jetèrent sur leur ami et le serrèrent contre eux. Niall tourna la tête vers Paul et sa progéniture et leur fit un signe de tête. Les deux Irlandais se joignirent donc à la boule de bonheur qui s'était formé au milieu de la pièce. Quand tout le monde reprit sa place initial, le plus grand se leva.

« Bon. Du coup on va devoir rester ici deux mois, c'est ça. » Demanda Louis, un petit sourire au lèvres.
« Allez faites pas la gueule. Je voulais vous montrer ma ville natale, je vous montrerai mon pays. C'est pas bien différents. Mis à part que Mullingar et UN PEU plus grand que ça... » Assura le petit blond.
« Mouais. Et puis, ici on est sur qu'on va pas être trop dérangés. » Ironisa Louis.
« Et bien voilà, tout est réglé. »


  Un magnifique sourire illumina le visage de Violette qui se pencha à l'oreille de son père et lui souffla quelques mots. Ce dernier la regarda quelques secondes et devant sa petite mine de cocker il ne résista pas longtemps et approuva d'un signe de tête, puis il se tourna vers les garçons.

 
 
Bon, ben, voilà, mon premier chapitre est enfin arrivé. 
Qu'est ce que vous en pensez ? Trop long, trop court ? 
Des fautes ? Des critiques ?
Bon, j'ai décidé de mettre quelques questions pour avoir votre avis.
 
→ Harry qui se la joue pervers ?
→ Louis qui remets les idées en place de Harry ?
→ Violette qui se rince l'oeil sans gène ?
→ Niall qui propose des gâteaux à Violette ?
→ Les garçons qui se moquent ?
→ Louis et sont délire d'éléphants roses et verts ? (tout droit sortis de ma petite tête)
→ Harry qui se prend un vent ?
→ Le râleur de service, Les pauses pipi, et les commentaires débiles ?
→ Violette qui ne les connait pas ?
→ Liam qui ne veut pas qu'elle soit au courant ?
→ Les présentations ?
→ La longue descriptions du garage ?
→ La complicité entre Violette et son père ?
→ Les garçons qui se moquent des cheveux de Harry ?
→ La pièce manquante ?
→ Le camion qui passe qu'une fois tout les deux mois ? (un peu exagéré peut-être)
→ Louis qui s'en veut ?
→ Le câlin groupé ?
→ Qu'est ce que Violette à demandé à son père ? Une idée ? 
 
 
 
Merci beaucoup d'avoir lu jusqu'ici ! Pour restez prévenu(e) un Kiff sur cet article et un commentaires expressif suffiront, mais bon si vous répondez au questions, ce serai cool aussi.